Alger
Deux policiers violent une fille à l’intérieur d’un commissariat
Amenay A. pour Tamurt.info
La malheureuse victime se promenait avec son petit amis en voiture le long de la côte Est-algéroise avant d’être arrêtés par des policiers. N’ayant rien trouvé à reprocher à ce couple, les policiers ont prétexté trouver une bouteille de vin vide sur le siège arrière de la voiture inspectée. Cette grotesque invention avait pour but d'interpeller le jeune couple puis d'accomplir leur sale besogne une fois arrivée au commissariat, sis au quartier dite «Faizi». _CS_SANS_GLOSSAIRE
20/05/2014 - 01:00 mis a jour le 20/05/2014 - 01:34 par
Deux policiers algériens ont violés une jeune fille, à l’intérieur d’un commissariat sis à Bordj El Kifane, à Alger. Cet acte sauvage auquel se sont donnés ces deux policiers délinquants a eu lieu en début de soirée de samedi. Un acte très grave qui confirme encore une fois nos dires à l’égard du corps de la police "coloniale algérienne", devenue le réceptacle de tous les ratés et des délinquants sans foi ni loi.
La malheureuse victime se promenait en voiture le long de la côte est d’Alger avec son ami avant d’être arrêtés par des policiers. N’ayant rien trouvé à reprocher à ce couple, les policiers ont prétexté trouver une bouteille de vin vide sur le siège arrière de la voiture. Une fausse excuse pour interpeller le jeune couple et accomplir leur sale besogne une fois au commissariat, sis au quartier dite « Faizi ».
Une fois à l’intérieur du commissariat, les policiers délinquants on fait entrer la jeune fille dans une pièce pour l’harceler et finir par la violer. Cela avec la complicité de trois autres de leurs compères, du même corps. Un corps de sécurité composé essentiellement de délinquants n’ayant aucun niveau d’instruction.
Traumatisée par cet acte sauvage, la jeune fille accompagnée de son amoureux s’est dirigée vers un autre commissariat pour déposer plainte contre les policiers violeurs. On nous raconte que ces policiers ont été arrêtés par la suite, et mis en garde à vue, mais ils seront certainement relâchés très bientôt car ces actes sont devenus des choses tellement banales pour la police algérienne.
Amenay A
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