Adolescent suspect 'arrêté après lui remettre dans la police »sur Paris le magazine massacre qui a fait 12 morts - que l'unité anti-terroriste raids construction dans la chasse pour deux frères« formé au Yémen, assassins'
- Un suspect tué et deux autres en garde à vue, les responsables américains contre le terrorisme prétendent, mais cela n'a pas été confirmée
- M a demandé des hommes armés prennent d'assaut le siège de Paris avec des AK-47 en criant «Allahu akbar!" et « le Prophète a été vengé '
- Bâtiment demander les noms des personnes traquées avant de tuer l'éditeur, trois dessinateurs et le rédacteur en chef adjoint
- Editeur Stéphane Charbonnier avait célèbre haussé les épaules menaces, disant: «Je préfère mourir debout que vivre à genoux»
- Images horribles montre un officier de police mendicité pour sa vie avant d'être abattu dans la tête à bout portant
- Cartoonist Corrine Rey a raconté comment elle se blottit avec sa jeune fille en regardant deux collègues abattus
- Killers ont fui dans la voiture volée dans l'est de Paris après un «shoot-out de masse» avec des policiers et restent en liberté
- Militants jugées d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique, qui était derrière avion parcelles à la bombe aux Etats-Unis et au Royaume-Uni
- Trois suspects, dit-on tous les citoyens français - un homme sans-abri adolescente âgée de 18 ans, et ses deux frères âgés de 32 et 34
- Journal avait déjà posté une photo de chef de file Etat islamique Abu Bakr al-Baghdadi sur son compte Twitter
- Les bureaux de publication ont été incendiés en 2011 pour la publication satirique du Prophète Mohammed
- Maison-Blanche avait précédemment critiqué Charlie Hebdo en 2012 pour la publication de ses caricatures religieusement sensibles
Deux frères et un adolescent ont été révélé la nuit dernière que les trois suspects liés à une attaque terroriste meurtrière sur un journal anti-islamiste en France.
Saïd Kouachi, 34, et Cherif Kouachi, 32, à la fois de Paris, ont été identifiés avec Hamyd Mourad, 18 ans, de la ville du nord-est de Reims.
Mourad rendu à la police »après avoir vu son nom sur les médias sociaux» et a été arrêté dans un endroit inconnu, une source proche de l'affaire a déclaré.
Il est apparu la nuit dernière que la chasse pour les autres hommes se était tourné vers la région Croix Rouge de Reims, quelque deux heures de voiture de Paris.
Des dizaines de membres de l'unité anti-terroriste d'élite de la France entouré un immeuble et il y avait des rapports un appartement avait été fouillé.
Faites défiler pour les vidéos et audio
Suspects: Les trois hommes ont été désignés comme Saïd Kouachi (à gauche), 34 ans, son frère Cherif Kouachi (à droite), 32 et Hamyd Mourad, 18 ans, de Gennevilliers
Réponse: Les policiers sont vus lors d'une opération dans la banlieue Croix-Rouge de Reims, nord de la France, tôt ce matin après les attentats
Un raid de l'unité anti-terroriste d'élite de la France était en cours fin hier à Reims dans le cadre de la chasse pour les hommes armés qui ont attaqué le journal
Soit les suspects pourront échapper, ou «il y aura une épreuve de force», a déclaré un membre de l'unité, exhortant les journalistes sur les lieux pour être «vigilants»
Les policiers montent la garde devant un bâtiment à Reims en criminalistique recherchent des éléments de preuve concernant les trois suspects de l'attaque de Paris
Officiers de police judiciaires cherchent des éléments de preuve concernant les trois suspects dans un appartement situé dans le quartier tout Croix Rouge à Reims
En direct des images de télévision ont montré des équipes de policiers occupant des postes dans le bâtiment, avec les spectateurs à prendre des photos.
Soit les suspects pourront échapper, ou «il y aura une épreuve de force», a déclaré un membre de l'unité, exhortant les journalistes sur les lieux pour rester «vigilants».
Quelques 100 000 personnes se sont rassemblées à travers la France la nuit dernière à dos la publication, Charlie Hebdo, comme une immense chasse à l'homme a été lancée pour trouver les attaquants.
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18k part
Les militants présumés d'Al-Qaïda massacrés 12 personnes à Paris hier, et parmi ceux abattus était un officier de police alors qu'il demandait grâce.
Un des officiers morts a été nommé hier Ahmed Merabet, qui est soupçonné d'avoir été un musulman.
La nuit dernière, des milliers de personnes ont assisté à Place de la République près de la scène pour honorer les victimes, en tenant des pancartes «Je suis Charlie» - «Je suis Charlie».
Les trois suspects ont été la nuit dernière dit par MetroNews soit tous les citoyens français - avec Mourad rapporté être sans-abri.
'Massacre': Les hommes armés sont vu brandissent des kalachnikovs comme ils se déplacent dans le policier blessé de leur véhicule à l'extérieur du bureau
Abattu de sang-froid: images horribles montre le policier blessé se est effondré sur le trottoir que deux de l'approche des hommes armés. Dans un appel désespéré pour sa vie, l'officier relève lentement sa main vers l'un des agresseurs, qui lui tire froidement à bout portant
Exécution brutale: Un officier de police plaide pour la miséricorde sur le trottoir à Paris avant d'être abattu dans la tête par des hommes masqués lors d'une attaque contre le siège de la publication satirique français Charlie Hebdo, une publication notoirement anti-islamique
Fuir: Des hommes armés ont abattu un policier blessé sur le terrain à bout portant comme ils fuient les bureaux de Charlie Hebdo
Vigil: Les gens se rassemblent autour des bougies et des stylos à la Place de la République à Paris en soutien aux victimes après l'attentat terroriste
Il y avait des réclamations contestées que les trois hommes avaient été arrêtés à 100 miles à Reims, à la suite d'un rapport de Libération . Cela ne pouvait pas être vérifiée.
Cherif Kouachi a été reconnu coupable en 2008 d'accusations de terrorisme pour aider les combattants de l'entonnoir à l'insurrection en Irak et condamné à 18 mois de prison.
Deux fonctionnaires antiterroristes responsables américains ont dit NBC Nouvelles qu'un suspect a été tué et les autres en garde à vue -, mais cela pourrait aussi ne pas être confirmé.
Un responsable du gouvernement a déclaré à Reuters qu'il y avait eu aucune arrestation, et il est apparu tôt ce matin que la police ont été toujours la chasse pour les trois hommes.
Vêtu de noir avec les capots et de langue française, les militants ont forcé un des caricaturistes - au bureau avec sa jeune fille - pour ouvrir la porte.
Selon des témoins, les hommes armés ont crié «nous sommes de l'Al-Qaïda au Yémen» et «Allahu akbar!" - Arabe pour «Dieu est grand» - comme ils traquaient le bâtiment.
Ils ont également déclaré avoir crié «le Prophète a été vengé», au cours de ce qui fut la plus meurtrière attaque terroriste post-guerre de la France.
Les assaillants se dirigea directement vers l'éditeur et dessinateur du journal, Stéphane Charbonnier, lui et son garde du corps de police tuant.
Les gens se rassemblent à Toulouse la nuit dernière pour montrer leur solidarité avec les victimes de l'attaque par des hommes armés sur les bureaux de la publication satirique
Ailleurs: Les gens se rassemblent sur la place Royale à Nantes pour manifester leur solidarité avec les victimes de l'attaque contre les locaux de l'hebdomadaire satirique
Debout ensemble: Les gens ont jusqu'à stylos et affiches lecture «Je suis Charlie» en français comme ils prennent part à une veillée à Trafalgar Square, Londres
Les gens se rassemblent près des bougies allumées à la mémoire des victimes de l'attaque meurtrière sur les bureaux Charlie Hebdo, à Lyon, centre de la France
«Ne pas avoir peur»: Les gens se rassemblent pour rendre hommage aux victimes de l'attaque terroriste contre le journal satirique, hier soir à Paris
La sécurité avait été recruté pour le protéger après extrémistes incendiés les bureaux en 2011 sur une bande dessinée satirique sur le prophète Mahomet.
Un an plus tard, M. Charbonnier célèbre rejeté les menaces contre sa vie, en déclarant: «Je aimerais mieux mourir debout que vivre à genoux."
Les militants ont également tué trois autres dessinateurs de renom - hommes qui avaient régulièrement Caricaturés l'islam - et vice-rédacteur en chef du journal.
Malgré une fusillade avec des agents armés, les hommes armés se sont échappés dans une voiture détourné et sont restés hier soir lâche.
Cela a laissé la capitale française à l'isolement virtuel comme la police et les soldats ont envahi les rues pour participer aux recherches.
Le président Barack Obama a offert l'aide américaine dans la poursuite des hommes armés, disant qu'ils avaient attaqué la liberté d'expression.
Mais il est également apparu que la Maison Blanche avait précédemment critiqué Charlie Hebdo en 2012 sur sa bande dessinée prophète Mahomet.
À l'époque, il avait dit que les images seraient «profondément offensant pour beaucoup et ont le potentiel d'être inflammatoire».
Urgence: Les policiers et les pompiers se rassemblent devant les bureaux de Charlie Hebdo à Paris des hommes armés ont pris d'assaut hier après le bâtiment
Critique: Les pompiers exécutent un homme blessé sur une civière en face des bureaux du journal satirique français Charlie Hebdo après la fusillade
Visages des victimes: Parmi les journalistes tués étaient (de gauche à droite) le rédacteur en chef adjoint de Charlie Hebdo Bernard Maris et caricaturistes Georges Wolinski, Jean Cabut, alias Cabu, Stéphane Charbonnier, qui est également rédacteur en chef, et Bernard Verlhac, également connu sous le nom Tignous
Pendant ce temps, des images horribles émergé montrant un policier blessé se est effondré sur le trottoir que deux hommes armés se sont approchés en dehors du bureau.
Dans un appel désespéré pour la vie apparente, l'agent est considéré soulève lentement la main vers un attaquant, qui lui tire une balle dans la tête à bout portant.
Malgré une fusillade acharnée avec la police, les hommes se sont enfuis dans une voiture détourné, et, à une heure de l'atrocité, semblait avoir disparu sans laisser de trace.
France a relevé son alerte de sécurité au plus haut niveau et renforcé les mesures de protection dans les maisons de culte, les magasins, les bureaux des médias et le transport.
Président François Hollande a appelé le bain de sang une «attaque barbare contre la France et contre les journalistes» et a juré de traquer les responsables.
Jacques Myard, député français UMP avec du parti d'opposition (Union pour un mouvement populaire), a déclaré: «Nous savions que quelque chose allait se passer.
«Les services (de sécurité) utilisés pour nous disent ce ne est pas si, mais quand et où. Nous savons que nous sommes en guerre.
«Les pays occidentaux - comme la Grande-Bretagne, France, Allemagne - nous sommes en guerre."
La reine a envoyé hier ses «sincères condoléances aux familles de ceux qui ont été tués" dans l'attaque.
Et le Premier ministre David Cameron a décrit les meurtres comme «écoeurant».
Dernière nuit: experts et police scientifique français officiers examiner les preuves devant le bureau du journal satirique Charlie Hebdo, à Paris
À grande: Les hommes armés sont vus près des bureaux du journal français Charlie Hebdo avant de se enfuir dans une voiture. Ils restent en liberté
Experts judiciaires examinent la voiture qui aurait été utilisée comme véhicule de secours par des hommes armés qui ont attaqué le bureau Charlie Hebdo
Les utilisateurs de Twitter ont répondu au massacre Charlie Hebdo avec un élan de solidarité en utilisant le hashtag #jesuischarlie, qui est une tendance en ligne.
Par 16h15, près de cinq heures après l'attaque, il avait déjà été tweeté plus de 250 000 fois, selon un site d'analyse sociale.
Guy Verhofstadt, le président de l'Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe a tweeté: "Un jour tragique pour la liberté d'expression #jesuischarlie. '
Marches ont également été organisés à Paris et à Londres en faveur de la liberté journalistique.
Ainsi que les fusils d'assaut AK47, il y avait également des rapports d'une grenade propulsée par fusée utilisés dans l'attaque.
Elle a eu lieu lors de la réunion hebdomadaire de la rédaction de la publication aux alentours de 12 heures (11 heures GMT), ce qui signifie que tous les journalistes auraient été présents.
Une jeune mère et dessinateur, connu sous le nom 'Coco', qui a survécu au massacre dit comment elle avait laissé les tueurs présumés d'Al-Qaïda dans le bureau.
Corrine Rey a dit qu'elle revenait de ramasser sa fille dans une pépinière quand elle a été confronté à deux hommes armés cagoulés.
«Je étais allé chercher ma fille à la garderie, arrivée en face de l'immeuble, où deux hommes masqués et armés brutalement nous ont menacés», a déclaré Mme Rey.
«Ils ont dit qu'ils voulaient aller jusqu'à les bureaux, donc je exploitées dans le code, a déclaré Mme Rey, se référant au système de sécurité digi-code sur l'interphone.
Un photographe de la police (partiellement caché) fonctionne avec les enquêteurs car ils examinent les impacts de tirs de mitrailleuse sur un véhicule de police
La vie en danger: Une personne blessée est évacuée à l'extérieur du bureau du journal satirique français Charlie Hebdo
Mme Rey et sa fille se sont cachés sous un bureau, d'où ils ont vu deux autres dessinateurs exécutés.
«Ils ont tiré Wolinski et Cabu, dit-elle. «Cela a duré cinq minutes. Je avais trouvé refuge sous un bureau ».
Mme Rey a déclaré que les hommes »parlaient parfaitement le français» et «prétendu qu'ils étaient des« terroristes d'Al-Qaïda ».
Des hommes armés auraient dit un autre témoin: «Vous dites aux médias, ce était Al-Qaïda au Yémen.»
Une source policière a déclaré au journal Libération les hommes armés demandaient l'M. Charbonnier par nom, en criant: «Où est Charb? Où est Charb?
La source a ajouté: «Ils ont tué lui a alors pulvérisé tout le monde.»
M. Charbonnier a été inclus dans un 2013 'Wanted Dead or Alive pour les crimes contre l'Islam' article publié par le magazine Al-Qaïda de propagande Inspire.
Le dernier tweet publié par le compte Twitter officiel du journal tôt dans la journée en vedette une bande dessinée d'Abou Baghdadi, le chef de l'Etat islamique.
Dans ce document, il a souhaité à tous une bonne santé ». Dessinateurs Cabu, Wolinski Tignous et ont tous été également signalé morts.
Radio France PDG Mathieu Gilet tard annoncé sur Twitter que le contributeur, Bernard Maris, était une autre des victimes.
Shell-choc: Une femme pleure en dehors du bureau. Des témoins ont rapporté avoir entendu des coups de feu fort et au moins une explosion lors de l'attaque
Trail de destruction: Police inspecter les dégâts après une collision entre les voitures de police à la scène lors d'un affrontement avec des militants islamiques
Pendant ce temps, il y avait des rapports de l'explosion d'une voiture devant une synagogue de Sarcelles, dans le nord de Paris, quelques heures après l'attaque Charlie Hebdo.
L'explosion, à environ 13h30 GMT, ne est pas pensé pour être connecté au massacre, selon métro de Paris qui a cité le maire de Sarcelles.
Florence Pouvil, une vendeuse au Lunas France sur la rue Nicolas Appert, en face des bureaux de Charlie Hebdo, a parlé de son choc à l'attaque.
Elle a dit à MailOnline: «Je ai vu deux personnes avec de gros canons, comme kalachnikovs en dehors de notre bureau et nous avons entendu le tir. Nous avons été très confus.
«Il y avait deux gars qui sortaient de l'immeuble et ont tiré partout. Nous nous sommes cachés à l'étage, nous étions terrifiés.
«Ils sont venus de l'immeuble d'en face avec les gros canons. Il a un tas de différentes sociétés à l'intérieur.
«Certains de nos collègues y travaillent donc nous avaient peur pour eux. Ils ne sont pas seulement à l'intérieur des bureaux tiraient Charlie Hebdo.
«Ils tiraient dans la rue aussi. Nous craignions pour nos vies si nous nous sommes cachés sous nos bureaux afin de ne pas nous voir.
»Les deux hommes étaient habillés de noir de la tête aux pieds et leurs visages étaient couverts donc je ne les vois pas.
«Ils portaient des vêtements militaires, ce ne était pas des vêtements commune, comme se ils étaient des soldats.»
Benoit Bringer, un journaliste à l'Agence Première Ligne, dit le réseau iTele il a vu plusieurs hommes masqués armés de mitrailleuses
Carnage: Un responsable de la police, Luc Poignant, a dit qu'il était au courant d'un journaliste mort et plusieurs blessés, dont trois policiers
Le New York Times a rapporté que journaliste au bureau Charlie Hebdo, qui a demandé à ne pas être nommé, a envoyé un texto à un ami après l'attaque de dire: «Je suis en vie.
«Il est mort tout autour de moi. Oui, je suis là. Les djihadistes me épargnés.
Un autre témoin, Gilles Boulanger, qui travaille dans le même bâtiment, dit Itele: «Un voisin m'a appelé pour me avertir qu'il y avait des hommes armés dans le bâtiment et que nous avons eu à fermer toutes les portes.
»Et quelques minutes plus tard, il y avait plusieurs coups de feu entendus dans la construction d'armes automatiques tirant dans toutes les directions.
«Alors nous avons regardé par la fenêtre et je ai vu la fusillade était sur le boulevard Richard-Lenoir, avec la police. Ce était vraiment bouleversant. Vous pensez que ce était une zone de guerre. »
Journaliste français, Stefan De Vries, a déclaré à Sky Nouvelles: «Il y avait une protection à la porte, mais ils ont tué les policiers, ils les ont exécutés et ils ont commencé à tirer dans les bureaux."
Un témoin anonyme a dit à la BBC World Service: «Quand je suis arrivé sur les lieux, il était assez troublant que vous pouvez imaginer. Il y avait plusieurs cadavres sur le sol.
«Nous avons vu le nombre de victimes est très élevé, donc nous avons juste essayé d'aider que nous pouvions - il y avait beaucoup de personnes sur le sol et il y avait du sang partout.
«Je suis très traumatisé par cette attaque et tout et maintenant nous sommes en enfer psychologique où nous allons être assisté par des professionnels.»
Terreur: En images filmées à partir d'un toit, les gens sont vus mettre à l'abri que les hommes armés sèment le chaos dans le bâtiment
Une photo publiée sur Twitter semblant montrer aux gens se réfugiant sur le toit du bureau de Charlie Hebdo
Benoit Bringer, journaliste à la scène qui travaille à côté, se réfugie sur le toit de l'immeuble, qui est dans le 11ème arrondissement de Paris.
Il a dit: «Il y avait beaucoup de gens dans le bâtiment. Nous avons évacué par le toit juste à côté du bureau. Après une dizaine de minutes, nous avons vu deux hommes lourdement armés et cagoulés dans la rue ».
Un autre témoin a dit: «Il y avait un fort et des coups de feu au moins une explosion. Lorsque la police est arrivée il y avait une fusillade de masse. Les hommes se en voiture, voler une voiture.
Un responsable de la police, Luc Poignant, a déclaré: «Ce est un carnage."
Après la fusillade, des centaines de commentaires ont été affichés sur la page Charlie Hebdo Twitter, avec un utilisateur, David Rault, écrit: «. Un triste jour pour la liberté d'expression»
Le rédacteur en chef de Charlie Hebdo Gérard Biard échappé au massacre parce qu'il était à Londres.
Il a dit à France Inter: «Je suis choqué que les gens peuvent ont attaqué un journal en France, une république laïque. Je ne comprends pas.
«Je ne comprends pas comment les gens peuvent attaquer un journal avec des armes lourdes. Un journal ne est pas une arme de guerre ».
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M. Biard a dit qu'il ne croyait pas l'attaque était liée à la dernière page de couverture du journal, qui présentait le romancier Michel Houellebecq, qui a déjà suscité la controverse avec des commentaires sur l'islam.
Et il a dit le journal ne avait pas reçu de menaces de violence: «Pas à ma connaissance, et je ne pense pas que quiconque les avait reçus comme des individus, parce qu'ils auraient parlé. Il n'y avait aucune tension particulière au moment '.
Un Français visiblement choqué le président François Hollande, se exprimant en direct près de la scène de la fusillade, a déclaré: «La France est aujourd'hui en état de choc, en face d'une attaque terroriste.
"Ce journal a été menacé à plusieurs rimes dans le passé et nous devons montrer que nous sommes un pays uni.
«Nous devons être fermes, et nous devons être de rester forte avec la communauté internationale dans les prochains jours et semaines.
«Nous sommes à un moment très difficile suite à plusieurs attaques terroristes. Nous sont taraudés parce que nous sommes un pays de liberté
«Nous allons punir les agresseurs. Nous allons chercher les personnes responsables ».
Hier, M. Cameron a déclaré: «Nous sommes avec le peuple français dans la lutte contre le terrorisme et la défense de la liberté de la presse."
Le président américain Barack Obama a condamné le "terrible fusillade", offrant de fournir toute l'assistance nécessaire »pour aider à apporter ces terroristes en justice».
Et le Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon, a déclaré: «Ce était un crime horrible, injustifiable et de sang-froid.
«Ce était aussi une attaque directe contre la pierre angulaire de la démocratie, sur les médias et la liberté d'expression.»
Le Foreign Office britannique est immédiatement mise à jour des conseils pour les voyageurs allant à des paires, avertissant: «Il ya une menace élevée de terrorisme».
Defiant: Stéphane Charbonnier, connu sous son nom de plume Charb, était rédacteur en chef de Charlie Hebdo, et abattu par des hommes avec des armes d'assaut
M. Charbonnier a été nommé comme l'un des neuf hommes du groupe islamiste extrémiste ont été ciblage (centre de la photo de droite). Leurs photos ont été imprimées à côté de la légende 'une balle par jour éloigne l'infidèle away'
Tragique: Cartoonist Georges Wolinski a été nommé par les autorités comme l'un de ceux abattus dans les bureaux de Charlie Hebdo
Dessinateur Jean plomb 'Cabu "Cabut (à gauche) a été parmi les 12 massacrés par des terroristes à Paris, avec« Tignous »Verlhac Bernard (à droite)
Radio France PDG Mathieu Gilet a annoncé sur Twitter que le contributeur, Bernard Maris (en haut à droite) était une autre des victimes
Il a ajouté: «Si vous êtes à Paris ou la région Ile de France prendre des précautions supplémentaires et suivez les conseils des autorités françaises."
Luce Lapin et Laurent Léger, qui ont tous deux travaillé à Charlie Hebdo, utilisaient Twitter heures avant l'attaque, avec le tweet le plus récent publié par Lapin dessinateur Cabu louant.
On pouvait y lire: «Cabu, un grand homme! Et honnête, il ne mange pas de foie gras. '
Bien Leger est fait un point politique sur les impôts.
Il dit: «Macron [ministère français de l'économie] veut plus de milliardaires en France, le même qui utilisent des astuces pour ne pas payer l'ISF [impôt de solidarité sur la fortune]. '
Mohammed Moussaoui, président de l'Union des mosquées françaises, a condamné "l'acte odieux", et a exhorté les musulmans et les chrétiens «à intensifier leurs actions pour donner plus de force à ce dialogue pour faire un front uni contre l'extrémisme».
Il est considéré comme l'attaque la plus meurtrière en France depuis 1961, quand les gens de droite qui voulaient garder l'Algérie française ont bombardé un train, tuant 28 personnes.
Le nombre d'assaillants a été initialement rapporté être deux, mais le ministre français de l'Intérieur a dit plus tard les services de sécurité étaient à la chasse trois «criminels».
Bernard Cazeneuve a ajouté que Paris avait été placé sur la plus haute alerte.
expert en sécurité Professeur Anthony Glees, de l'Université de Buckingham, a déclaré: «Les Français ont manifestement pas réussi à garder leur pays sûr.»
Il a dit à MailOnline: «Nous, dans les grandes démocraties occidentales pourraient maintenant être sur le point d'une série soutenue d'Al-Qaïda-IS attaques, générés par l'emprise que les islamistes ont dans de nombreux endroits dans le monde, pas moins l'Etat est lui-même.
«Nous ne pouvons pas apaiser ce mouvement - nous devons gagner la guerre de la sécurité contre elle et contenir, sinon grande difficulté qui nous attend.
Localisation: agents ont été impliqués dans une fusillade avec les hommes, qui se sont échappés dans une voiture détourné et a filé au loin du bureau vers l'est de Paris
«Nous devons être de rester forte avec la communauté internationale ': Un visiblement choqué le président français François Hollande arrive à la scène, où il a promis de traduire les responsables en justice
«Nous avons besoin activité plus et mieux sur le renseignement à la maison et nous devons vaincre l'Etat est à l'étranger.
«Ce ne est pas étonnant que tant de gens en Europe manifestent contre ce qu'ils considèrent comme l'islamisation de l'Europe.
«Toutefois, leur objectif ne devrait pas être la grande majorité des musulmans européens qui ne veulent rien à voir avec l'islamisme, mais le mouvement politique qu'il a produit.
«Ce ne est pas sur la religion ou la foi des communautés, il se agit de la politique révolutionnaire et la violence et seule la force peut surmonter."
Les bureaux de la même journal ont été brûlées dans une attaque de l'essence en 2011 après avoir exécuté une couverture de magazine du prophète Mahomet comme un personnage de dessin animé.
À l'époque, le rédacteur en chef, Stéphane Charbonnier, dit l'Islam ne pouvait être exclu de la liberté de la presse.
Il a dit: «Si nous pouvons moquer de tout en France, si nous pouvons parler de tout en France en dehors de l'Islam ou les conséquences de l'islamisme, ce est ennuyeux."
M. Charbonnier, également connu comme Charb, a déclaré qu'il ne voyait pas l'attaque sur le journal que le travail des musulmans de France, mais de ce qu'il appelait «extrémistes idiot».
Le couvercle a montré Mohammed disant: «100 coups de fouet si vous n'êtes pas en train de mourir de rire.
Charlie Hebdo de cette semaine également en vedette l'auteur Houellebecq, dont le roman imagine musulmans nouvelle prise en charge du gouvernement français en 2022.
A l'intérieur, il y avait un éditorial, attribué au Prophète Muhammad, et plus de dessins animés - une montrant le Prophète avec nez rouge de clown.
Représentation du Prophète est strictement interdite dans l'islam, mais le journal a nié essayait d'être provocateur.
Une attaque à la bombe incendiaire ravagé le siège de Charlie Hebdo en Novembre 2011 après avoir mis une image du prophète Mahomet sur sa couverture.
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Les journalistes du monde entier ont mené la tendance pour le hashtag, qui se traduit par «Je suis Charlie ', comme les événements se sont déroulés après l'attaque ...
Une menace pour chacun d'entre nous: L'indignation de sang-froid à Paris est de notre droit d'être libres de nous exprimer
L'incident épouvantable à Paris est le dernier chapitre d'une longue campagne concertée pour arrêter la critique et la discussion d'une religion,
