Vidéo. Histoire. Hassan 2 Aurait-il Trahi La Révolution Algérienne?
Le 22 octobre 1956, l’avion d’Air Maroc, conduisant de Rabat à Tunis cinq des chefs historiques du FLN, est illégalement détourné dans l’espace international sur Alger. Hocine Aït Ahmed, Ahmed Ben Bella, Mohammed Boudiaf, Mohamed Khider et Mostefa Lacheraf sont arrêtés et demeurent emprisonnés jusqu’en 1962.
Selon certaines sources, c’est le prince héritier Hassan II qui aurait été à l’origine de ce détournement. Ainsi, Hassanin Heykal, ancien confident du président égyptien Gamal Abdel-Nasser, et ancien patron et éditorialiste du quotidien du Caire Ah Ahram, avait indiqué sur Al Jazeera en 2008 que Moulay Hassan, qui avait 27 ans à l’époque, aurait été impliqué dans l’arraisonnement de l’avion transportant les chefs historiques du FLN en modifiant le programme initial et en.
Pour Hocine Aït-Ahmed, cette accusation est ridicule et sans fondement. « C’est un mensonge ridicule et excentrique, dont la seule fonction est de travestir les réalités », déclara-t-il sur la télévision marocaine Médi1-Sat. Aït Ahmed explique dans cette interview que le changement d’appareil avait eu lieu à sa demande, après qu’il eut fait état au futur Hassan II de ses « craintes » de faire « prendre des risques » au roi en le faisant voyager dans le même avion que les dirigeants algériens, recherchés par les services français.
Selon certaines sources, c’est le prince héritier Hassan II qui aurait été à l’origine de ce détournement. Ainsi, Hassanin Heykal, ancien confident du président égyptien Gamal Abdel-Nasser, et ancien patron et éditorialiste du quotidien du Caire Ah Ahram, avait indiqué sur Al Jazeera en 2008 que Moulay Hassan, qui avait 27 ans à l’époque, aurait été impliqué dans l’arraisonnement de l’avion transportant les chefs historiques du FLN en modifiant le programme initial et en.
Pour Hocine Aït-Ahmed, cette accusation est ridicule et sans fondement. « C’est un mensonge ridicule et excentrique, dont la seule fonction est de travestir les réalités », déclara-t-il sur la télévision marocaine Médi1-Sat. Aït Ahmed explique dans cette interview que le changement d’appareil avait eu lieu à sa demande, après qu’il eut fait état au futur Hassan II de ses « craintes » de faire « prendre des risques » au roi en le faisant voyager dans le même avion que les dirigeants algériens, recherchés par les services français.
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