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mercredi 10 juillet 2013

Monsieur François Hollande : l’islam n’est pas démocratique, il est nazi ! | Riposte Laique

Monsieur François Hollande : l’islam n’est pas démocratique, il est nazi !

Le grand précurseur de la sociologie moderne Ibn Khaldoun disait des arabes  par où ils passent la civilisation trépasse.
Détruisant tout sur leur passage  tels des sauterelles  dévastatrices comme celles des Banu Hilal, laissant derrière eux un fleuve de larmes et de sang et un désert de ruine et désolation peuplé de charognards infâmes.
Ce qu’on observe aujourd’hui dans les pays arabisés malgré eux ne fait hélas que conforter ce constat amer. Dire cela n’est pas de l’arabophobie. On ne va pas se voiler la face à l’image de certaines femmes ou se déguiser en pieux musulman juste pour esquiver la vérité et l’occulter.
Là où le monde progresse, les pays arabes  et musulmans régressent. Le tableau cette autre vérité implacable en témoigne. Les droits de la femme, de l’homme, du citoyen, la protection des droits de l’enfance, la liberté de conscience, la liberté d’association, la liberté syndicale, la démocratie, l’égalité d’accès au droit, la justice sociale, le développement humain, l’accès aux soins, la lutte contre l’analphabétisme, etc… autant de valeurs universelles jugées par les fondamentalistes comme étant des sacrilèges et par conséquent contraires aux dogmes de l’islam à cause de leur caractère judéo-chrétien ou maçonniques. Un subterfuge pernicieux pour ne pas arrimer le train du monde musulman à celui de l’humanité.
En quoi est-ce une hérésie quand on revendique une égalité absolue en droits et devoirs entre les hommes indépendamment de leur origine ethnique, leur sexe, leurs système de croyance ou non-croyance ? En quoi est-ce un crime de rejeter les valeurs rétrogrades et désuètes ?
La vraie démocratie comme disait A. Camus est celle qui protège les droits des minorités contre le pouvoir hégémonique de la majorité.  Mais quand une minorité s’arroge le droit d’imposer sa volonté  à la majorité au nom d’un prétendu pouvoir dont elle se considère investie par Dieu, cela conduit immanquablement à la dictature religieuse à l’instar des pays dits arabes.
La religion devient ainsi un atout majeur pour verrouiller et censurer tous les modes d’expression et de liberté.
Hitler voulait créer  sans succès une nouvelle religion pour les allemands en étant son apôtre pour les enchaîner aux dogmes du nazisme,  mais les imposteurs musulmans sont en train de le réussir non seulement en créant une nouvelle religion mais parce qu’ils ont su  tirer profit des quintessences théologiques de l’islam lui-même qui fait de la violence un devoir un de ses piliers essentiels.
En effet, plus que toutes les autres religions, l’islam se veut Etat, culte et cité, ce qui leur permet d’instaurer un ordre politique et social où le sacré et le profane se confondent en conformité avec les prescrits de l’islam.
Dans un environnement où la religion est le seul mode de gouvernance politique de la vie des hommes, il est impossible d’envisager un jour l’émergence d’un Etat démocratique.
Elle ne saurait elle-même ouvrir les portes à des valeurs importées fécondatrices de droits fondamentaux et qui risquent de lui faire de l’ombre et de restreindre son champ de pouvoir.
Ainsi, sous prétexte de la préserver de la prétendue pollution desdites valeurs, qui présentent en réalité un réel danger pour leur pouvoir hégémonique, les  castes théocratiques musulmanes, usent et abusent d’artifices et de manoeuvres tous frappés du sceau du sacré, afin de frapper de figer les musulmans dans un ultra conservatisme dont la seule préservation est garante de leur propre survie et la sauvegarde de leurs privilèges exorbitants.
L’islam leur offre une opportunité exceptionnelle pour quadriller la vie des hommes, la façonner, la moduler et la diluer dans la bain d’acide sulfurique du despotisme théocratique.
Surfant sur les peurs  des musulmans de rater la dernière marche du paradis et sur les mécanisme d’auto-culpubilisation,  ils ont toute la  latitude  pour  les enfermer dans un sarcophage aussi hermétique que celui de Tchernobyl sous prétexte de les immuniser des  irradiations extérieures.
Leur seul leitmotiv est de garder leurs sujets censés être dépourvus de tout discernement propre ans un état d’enfermement  mental permanent, dont on ne sort jamais vivant. Purger sa peine ici-bas, vivre sa condition de vie de bagnard ce quoi sont condamnés les musulmans avant se présenter devant leur Grand Juge.
L’islam est pour eux leur seule sève vitale, le cordon ombilical qui les relie à Dieu, ne pas s’y abreuver est un sacrilège, un pêché mortel, une apostasie. Pour preuve, ils sont les seuls au nom du régime d’exception dont jouit leur religion à ne pas adhérer à la Déclaration Universelle des Droits de l’homme et du Citoyen.
Comme ils ont été les seuls à manifester leur hostilité à l’égard de la Résolution des Nations Unies sur l’égalité des droits entre les hommes et la femme, jugées comme offensantes à l’islam.
Dans un contexte négationniste d’égalité de droits entre les hommes et les femmes, des droits des minorités, liberticide et ethnocentrique et réfractaire au changement  au nom de l’immuabilté des valeurs de l’islam, seuls les naïfs et les islamos collabos continuent à croire aux vertus humanistes de l’islam et de sa capacité à s’adapter aux exigences de la modernité et des lois universelles.
L’islam sait que sa seule chance de survie est son repli sur soi et toute ouverture sur le monde peut signifier son propre arrêt de mort. En existant par la terreur et la violence exercée tout aussi bien sur ses fidèles comme sur les non-musulmans, il croit  ainsi obtenir sous la contrainte des concessions de la part du reste du monde qui lui permettent de propager  son virus létal de par le monde.
L’islam exige des autres ce que les autres n’exigent pas de lui. Il se sert de son particularisme identitaire, oubliant que cela n’est pas spécifique à l’islam, mais qui est surtout symptomatique de son refus de vivre en bonne harmonie avec le reste du monde, il s’emploie à oeuvrer pour créer en son sein des garde-fous aux valeurs universelles fondamentales, conditions sine qua bon pour mériter sa place à part entière dans la communauté international. Faire oeuvre de paix est pour lui un sacrilège.
Il est utopique de l’imaginer adopter un jour un comportement paisible et humaniste.
Lui qui poursuit des desseins cosmiques et impériaux et qui se veut un nouveau gouvernement mondial pour le monde, ne va pas souscrire à des valeurs incompatibles avec les siennes et contre lesquelles il mène une croisade comme en Tunisie : laïcité, démocratie, république, égalité de droits entre les hommes et les femmes, justice, équité, liberté et dignité.
Le monde doit imposer à l’islam les règles du jeu  internationales et non  pas les aménager pour ménager la susceptibilité à fleur de peau de cette religion.
Lui faire comprendre qu’il n’est pas au-dessus des lois universelles. Le nazisme a péri de sa propre mort en voulant s’imposer au monde, l’islam n’y échappera pas non plus s’il persiste dans sa voie d’ignorer et de violer  les principes fondamentaux du droit international qui s’imposent à toutes les civilisations quelles qu’elles soient et notamment celles qui veulent se prévaloir de l’exception religieuse.
Le sectarisme inhérent à cette civilisation, qui est n’est pas le terme approprié, ne peut pas être une source de pensée universaliste qui de surcroît est loin de constituer un facteur de citoyenneté, de paix, de sécurité, d’égalité entre les hommes et les femmes.
Une pensée qui n’est pas  non plus un modèle du bien vivre ensemble et de tolérance.
Clivant les hommes en purs (musulmans) et impurs (non-musulmans). Comme si être né musulman est une chance, une bénédiction divine et de ne pas l’être est une malédiction.
Ainsi pour l’islam il y a les musulmans et les autres. Plaçant les siens au sommet de la hiérarchie humaine, reléguant ceux qui n’ont pas son caractère au rang d’intouchables, de dhimmis, avec lesquels il est interdit d’entretenir la moindre relation sauf s’ils adhèrent à sa loi afin de faire part  de la communauté des croyants jamais envoyée sur cette terre.
L’idéal musulman est plutôt un idéal nazi. Il porte en lui tous les germes du racisme, du sexisme, de l’esclavagisme, de l’ostracisme, de la discrimination et de l’inhumanisme.
Quant à son soi-disant égalitarisme, il est fondé sur le seul critère de la piété. Pour l’islam les hommes ne sont pas nés égaux et encore moins les femmes jugées comme déficientes en raison et en foi.
J.J. Rousseau disait que tous les hommes sont nés égaux en droit. Ce qui constitue le fondement même de l’idéal humain universel.
Or, un système idéologique qu’il soit religieux ou politique qui classifie les hommes, les hiérarchise dès la naissance,  où les femmes et les hommes doivent s’inscrire dans une logique  qui dépasse l’entendement humain, abstraite et irrationnelle, est fondamentalement raciste.
Il est difficile d’y voir un facteur de civilisation universelle alors qu’elle s’appuie sur une idéologie fondée sur un ordre  réducteur, concentrationnaire, discriminatoire, désintégrateur et liberticide.  Un modèle de société qui s’apparente au système de caste hindoue, à un régime d’apartheid ou le Reich nazi.
Chaque civilisation a ses caractéristique et spécificités propres, il est évident qu’il ne peut y avoir de hiérarchie entre elles, mais il n’en demeure pas moins que certaines sont plus différentes que d’autres et sources de  rejet, de peur et de phobie.
Au nom de leurs spécificités culturelles qui se veulent elles-mêmes de portée universelle (c’est le paradoxe musulman),  les sociétés musulmanes continuent à se prévaloir d’un mode de vie opprimant, inégalitaire et irrespectueux des droits humains les plus élémentaires, telle la liberté de circuler ou de voyager pour les femmes.
Au nom des traditions d’un autre temps sous couvert des dogmes religieux pour les rendre immuables et intemporelles, on refuse le paritarisme, on continue à exciser, reléguer, censurer, brimer, brider, ostraciser, lapider, opprimer, cloîtrer, infliger aux femmes un traitement humiliant et  indigne de la condition humaine.
Une société qui se prive de la moitié de son humanité pour des considérations incompatibles avec la raison humaine ne saurait difficilement prétendre au statut de civilisation dans son sens universaliste, celui des valeurs unanimement reconnues et admises par tous les hommes et de toutes les cultures.
Une société à fort relent xénophobe et discriminatoire qui ne reconnaît pas à l’étranger ses droits humains  les plus élémentaires surtout quand cet étranger, cet autre n’a pas de surcroît son caractère religieux, n’a pas les attributs d’une société véritablement humaine.
Il est difficile par conséquent d’y voir un symbole de civilisation humaine. Alors qu’elle ne souscrit guère aux principes fondamentaux des droits de l’homme et du citoyen, de la charte universelle de la protection de l’enfance, l’abolition de toutes formes de racisme et qu’elle ne transpose pas dans son droit interne la convention internationale contre la haine raciale, l’antisémitisme, le révisionnisme et le négationnisme des crimes contre l’humanité.
Une société où l’on continue à faire l’apologie du nazisme et d’appeler à la mort du Juif comme cela venait de se produire tout récemment en Tunisie sans que les auteurs de tels propos n’aient fait l’objet d’une quelconque procédure pénale.
De même quand des élus du peuple s’appuyant sur les prescrits de la religion se font les apôtres de la violence physique mutilatrice du corps humain pour châtier leurs concitoyens qui n’adhèrent à la pensée religieuse dominante.
Le climat de violence religieuse, l’intolérance, les menaces et dangers qui couvent sur les libertés individuelles, politiques, syndicales, associatives,  les annonces inquiétantes et effrayantes sur le sort réservé aux femmes, l’abaissement de l’âge nubile du mariage, c’est-à-dire la légalisation de la pédophilie, l’excision, la marchandisation institutionnelle du corps de la femme sous couvert de la religion tels que les mariages coutumiers, la répudiation, l’homophobie, la haine de l’autre surtout du Juif, les pogroms et autodafés, les oukases de droit canonique pour légitimer des pratiques sexuelles morbides (nécrophilie), voire zoophilie etc…
Elles sont peut-être des valeurs pour les sociétés qui les pratiquent mais en aucun cas des valeurs de portée universelle, susceptibles de contribuer à l’épanouissement humain en faisant de l’homme un acteur de sa vie et non un simple disciple comme s’il était affilié à un ordre sectaire où il est dépossédé de son libre-arbitre.
Or, une société qui ne favorise pas la pensée-libre et qui au moyen des mécanismes obscurs, transcendantaux, dogmatiques et eschatologiques inhibe toute forme de progrès humain et d’indépendance d’esprit est une société plutôt liberticide.
Une telle société est mutilatrice et réductrice du phénomène civilisationnel. En effet, elle est certainement fidèle à ses dogmes religieux, mais cela ne fait pas d’elle forcément humaniste.
Elle serait plutôt inhumaniste tel le modèle de société fasciste ou hitlérien. Une société civilisée et civile est celle qui  place  la dignité humaine au coeur de ses préoccupations, elle offre aux hommes d’aures substances que la religion à savoir l’art, la culture, la démocratie, les drois fondamentaux, l’éducation publique, la technologie, la science, la technique, la philosophie rationaliste.
Une société fondée sur la seule allégeance à une force supra-humaine au coeur de toutes choses au dépens de l’homme avec des règles de vie étrangères à  la raison humaine universelle dans le sens kantien du concept a surtout les caractéristiques d’une organisation sectaire.
Ainsi, elle n’est ni civile ni civilisée surtout qu’il y a la racine civile dans civilisation en opposition au phénomène religieux. Une société n’est jamais préconçue, elle est le fruit de la réflexion humaine et correspond à l’idéal de vie commune guidé par des motifs dépollués de tout symbolisme irrationnel sans aucune cohérence avec les besoins essentiels des hommes. Une société est de par sa nature dédiée aux hommes avec des moyens d’organisation et des objectifs conçus, déterminés et adoptés par eux et au profit général, indépendamment des clivages religieux, sexuels, ethniques et idéologiques.
Si transcendance il y a elle est la résultante de leur volonté commune universaliste et non en vue de satisfaire la volonté abscons de dieu.
La société dédiée à dieu est discriminatoire est désintégratrice des hommes contrairement à une société civilisée.
Une société d’assujettissement et d’avilissement des hommes et qui cherchent à créer un goulag pour les femmes et tous ceux qui ne sont pas dans ses normes socio-religieuses s’inscrit dans le champ de la civilisation de la monstruosité humaine.
Quelles que soient cette force immatérielle  à laquelle les hommes vouent un culte, elle ne  peut pas être pacificatrice et civilisatrice du caractère de ses hommes  tant qu’elle privilégie des conduites et  des comportement et des pratiques d’un autre âge synonymes de barbarie humaine et de « féminicide » voire d’infanticides, coulées dans le moule de son système de croyance, est fidèle certes à sa propre conception de la civilisation mais elle n’est en aucun cas une société qui s’inscrit dans la voie de la modernité et du bien-être commun universel.
Salem Benammar 

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